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Trouvezvotre poème de Fête des mères et imprimez-le gratuitement. Imprimer un poème de fête des mères est une jolie idée pleine de douceur et de tendresse pour célébrer les mamans. Le dernier dimanche de mai ou le premier de juin, l’occasion est trop belle pour couvrir les mamans de délicates attentions et les surprendre avec un
Leproverbe japonais, Quelques Citations : “La vie humaine est une rosée passagère.”. “On ne peut pas chasser le brouillard avec un éventail.”. “On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite.”.
Dulcinéeest la plus belle femme du monde, Bien sûr qu’il fallait crier cela à la figure des petits marchands de rien du tout, Bien sûr qu’ils devaient se jeter sur toi Et te rouer de
Poèmessur la femme. Anita Rée, Autoportrait, 1929. 1909. Guillaume Apollinaire. La dame avait une robe En ottoman violine Et sa tunique brodée d’or Était (continuer) Catégories Guillaume Apollinaire, Beauté, La
Jamaisil ne cesse d’écrire : 18 000 pages, soit près de 300 titres en bengali, poèmes, théâtre, souvenirs, récits de voyages, essais, nouvelles et romans dont beaucoup seront portés à l
Chatroulette Français Sur Roulettechat Rencontres Au Hasard. Poèmes choisis Adélaïde Dufrénoy 1765-1825 Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 George Sand 1804-1876 Ondine Valmore 1821-1853 Louise Ackermann 1871-1945 Anna de Noailles 1876-1933 Cécile Sauvage 1883-1927 Esther Granek 1927-2016 Essence Droit d'utiliser à des fins non commerciales, de partager ou d'adapter l'Œuvre. Pour cela, vous devez la créditer, intégrer un lien vers cette page du site et indiquer si des modifications ont été effectuées. Les nouvelles Œuvres créées à partir de celle-ci seront sous les mêmes conditions. La jalousie Dernier trésor d’une amie, Toi dont les chastes amours Aux jours sombres de ma vie Font succéder de beaux jours, Ah ! Pardonne à ma tendresse Le caprice et le soupçon ; Quand on aime avec ivresse On perd souvent la raison. Je sais que ton âme pure Méprise un art imposteur, Que je te fais une injure En soupçonnant ta candeur. J’abhorre la jalousie, Qui m’atteint de son poison ; Mais je t’aime à la folie ; Je perds souvent la raison. À mes injustes alarmes Loin d’opposer des froideurs, Lorsque tu verras mes larmes Presse ton cœur sur mon cœur ; Qu’un regard, un doux sourire, Bannissent mon noir soupçon ; Montre-moi plus de délire, Et j’aurai plus de raison. — Adélaïde Dufrénoy 1765-1825 Elégies, suivies de poésies diverses La couronne effeuillée J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillée Au jardin de mon père où revit toute fleur ; J'y répandrai longtemps mon âme agenouillée Mon père a des secrets pour vaincre la douleur. J'irai, j'irai lui dire, au moins avec mes larmes Regardez, j'ai souffert ...» il me regardera, Et sous mes jours changés, sous ms pâleurs sans charmes, Parce qu'il est mon père il me reconnaîtra. Il dira C'est donc vous, chère âme désolée La terre manque-t-elle à vos pas égarés ? Chère âme, je suis Dieu ne soyez plus troublée ; Voici votre maison, voici mon coeur, entrez ! » Ô clémence ! ô douceur ! ô saint refuge ! ô père ! Votre enfant qui pleurait vous l'avez entendu ! Je vous obtiens déjà puisque je vous espère Et que vous possédez tout ce que j'ai perdu. Vous ne rejetez pas la fleur qui n'est plus belle ; Ce crime de la terre au ciel est pardonné. Vous ne maudirez pas votre enfant infidèle, Non d'avoir rien vendu, mais d'avoir tout donné. — Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 Poésies inédites L’oreiller d’un enfant Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête, Plein de plume choisie, et blanc, et fait pour moi ! Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête, Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi ! Beaucoup, beaucoup d’enfants, pauvres et nus, sans mère, Sans maison, n’ont jamais d’oreiller pour dormir ; Ils ont toujours sommeil, ô destinée amère ! Maman ! douce maman ! cela me fait gémir … — Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 Poésies inédites À Aurore La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-même. — George Sand 1804-1876 Contes d’une grand’mère vol. 1 1873 Correspondance Cher ami, Je suis toute émue de vous dire que j'ai bien compris l'autre jour que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et si vous voulez me voir ainsi vous dévoiler, sans artifice, mon âme toute nue, daignez me faire visite, nous causerons et en amis franchement je vous prouverai que je suis la femme sincère, capable de vous offrir l'affection la plus profonde, comme la plus étroite amitié, en un mot la meilleure épouse dont vous puissiez rêver. Puisque votre âme est libre, pensez que l'abandon où je vis est bien long, bien dur et souvent bien insupportable. Mon chagrin est trop gros. Accourez bien vite et venez me le faire oublier. À vous je veux me sou- mettre entièrement. Votre poupée Correspondance de George Sand à Alfred de Musset. Conseil de lecture Lire une ligne sur deux * * * D'Alfred de Musset à George Sand. Quand je mets à vos pieds un éternel hommage, Voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d'un coeur Que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Couche sur le papier ce que je n'ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, Vous saurez quel remède apporter à mes maux. * * * De George Sand à Alfred de Musset. Cette insigne faveur que votre coeur réclame Nuit à ma renommée et répugne à mon âme. — George Sand 1804-1876 Correspondance La voix Cher ami, La neige au loin couvre la terre nue ; Les bois déserts étendent vers la nue Leurs grands rameaux qui, noirs et séparés, D'aucune feuille encor ne sont parés ; La sève dort et le bourgeon sans force Est pour longtemps engourdi sous l'écorce ; L'ouragan souffle en proclamant l'hiver Qui vient glacer l'horizon découvert. Mais j'ai frémi sous d'invisibles flammes Voix du printemps qui remuez les âmes, Quand tout est froid et mort autour de nous, Voix du printemps, ô voix, d'où venez-vous ?... — Ondine Valmore 1821-1853 - Adieu à la poésie Mes pleurs sont à moi, nul au monde Ne les a comptés ni reçus, Pas un oeil étranger qui sonde Les désespoirs que j’ai conçus. L’être qui souffre est un mystère Parmi ses frères ici-bas ; Il faut qu’il aille solitaire S’asseoir aux portes du trépas. J’irai seule et brisant ma lyre, Souffrant mes maux sans les chanter ; Car je sentirais à les dire Plus de douleur qu’à les porter. — Louise Ackermann 1871-1945 Paris, 1835 L’automne Voici venu le froid radieux de septembre Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l’air sévère, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. Comme toutes les voix de l’été se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l’eau même a froid. Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller où les oiseaux s’envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les étangs demain. Le silence est léger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flûte, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l’Amour qui jouait sous la bonté des cieux S’en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu’il va transfigurer Tressaille et s’attendrit de le sentir entrer. — Anna de Noailles 1876-1933 Le coeur innombrable Je me souviens de mon enfance Je me souviens de mon enfance Et du silence où j’avais froid ; J’ai tant senti peser sur moi Le regard de l’indifférence. Ô jeunesse, je te revois Toute petite et repliée, Assise et recueillant les voix De ton âme presque oubliée. — Cécile Sauvage 1883-1927 Mélancolie Je ne peux rien retenir Je ne peux rien retenir, Ni la lune ni la brise, Ni la couleur rose et grise D’un étang plein de dormir ; Ni l’amitié ni ma vie, Ombre fuyante et pâlie Dont je perds le souvenir. — Cécile Sauvage 1883-1927 Fumées Contradictions Ils cohabitent en moi. Se battent sans qu’on le voie Le passé le présent Le futur et maintenant L’illusion et le vrai Le maussade et le gai La bêtise la raison Et les oui et les non L’amour de ma personne Les dégoûts qu’elle me donne Les façades qu’on se fait Et ce qui derrière est Et les peurs qu’on avale Les courages qu’on étale Les envies de dire zut Et les besoins de lutte Et l’humain et la bête Et le ventre et la tête Les sens et la vertu Le caché et le nu L’aimable et le sévère Le prude et le vulgaire Le parleur le taiseux Le brave et le peureux Et le fier et le veule… Pour tout ça je suis seul. — Esther Granek 1927-2016 Ballades et réflexions à ma façon Toi Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon coeur Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas. — Esther Granek 1927-2016 Ballades et réflexions à ma façon Une histoire Et c’est au fil de nos sourires que se noua le premier fil. Et c’est au fil de nos désirs qu’il se multiplia par mille. Était-ce au fil de mes espoirs qu’en araignée tu fis ta toile ? Car c’est au fil de tes départs qu’au piège je fus l’animal… alors qu’au fil de ton plaisir se brisera… le dernier fil. — Esther Granek 1927-2016 Je cours après mon ombre Vacances Tiède est le vent Chaud est le temps Fraîche est ta peau Doux, le moment Blanc est le pain Bleu est le ciel Rouge est le vin D’or est le miel Odeurs de mer Embruns, senteurs Parfums de terre D’algues, de fleurs Gai est ton rire Plaisant ton teint Bons, les chemins Pour nous conduire Lumière sans voile Jours à chanter Millions d’étoiles Nuits à danser Légers, nos dires Claires, nos voix Lourd, le désir Pesants, nos bras Tiède est le vent Chaud est le temps Fraîche est ta peau Doux le moment Doux le moment… Doux le moment… — Esther Granek 1927-2016 Ballades et réflexions à ma façon Fleur bleue Aux idées noires Mais la main verte Passe ses nuits blanches À jardiner sa matière grise Pour voir éclore la vie en rose — Essence Poème de Twitter Écrire n'est pas qu'écrire C'est d'abord l'idée investie Qui surgit Inopinément Magique Sur le papier, elle s'exprime Et là s'impriment sentiments, Désirs Rêves Une vie L'âme à nu Des flammes entre les doigts ... Ensuite Lire n'est pas que lire — Essence Poème de Twitter Atteignant la saison de leur majorité Les feuilles Pudiques Rougissent À l'idée de devoir Déshabiller Un arbre Pour leur première fois Automne —Essence - Sous son autre pseudo Neige Poème de Twitter
Ce dictionnaire contient 29 pensées et citations La belle femme. La femme est belle quand un frisson d'amour la fait vibrer et trembler sous les baisers. Gustave Flaubert ; Lettre à Ernest Chevalier, le 21 septembre 1841. Un mot écrit sur la peau d'une belle femme nue n'est qu'un détail de ce beau corps. Louis Scutenaire ; Mes inscriptions 1943-1944 On ne reçoit rien des belles femmes, mais on peut en obtenir tout. Sylvain Maréchal ; Le dictionnaire d'amour 1788 L'innocence est de tous les vêtements celui qu'une belle femme porte le moins de temps. Sylvain Maréchal ; Le dictionnaire d'amour 1788 Dieu est un sublime créateur, il a créé la femme, plus belle que les fleurs. Publilius Syrus ; Les sentences et adages - Ier s. av. La belle ligne d'une femme, c'est l'éclair qui blesse délicieusement les yeux. Anatole France ; Le Lys rouge 1894 À la maison, au charme d'être belle, la femme est encore plus belle pour ne charmer qu'un. Alphonse Karr ; Les guêpes 1839-1849 La femme est une sainte et belle créature, mais presque toujours incomprise et mal jugée. Honoré de Balzac ; Les Marana 1834 Toute belle et honnête femme ne refuse jamais la louange qu'on lui donne. Brantôme ; Les vies des dames galantes 1600 Les femmes extrêmement belles étonnent moins le second jour. Stendhal ; De l'amour 1822 Une belle femme n'a qu'à se montrer pour plaire, sa vanité est satisfaite. Jeanne-Marie Leprince de Beaumont ; Belote et Laidronette 1756 Si une femme est belle, elle est toujours assez parée. Plaute ; Mostellaria - IIe s. av. Bien des choses peuvent se transformer dans les sociétés humaines, mais rien ne prévaudra contre une vérité aussi naturelle qu'une belle fille ou une rose rouge signifient l'amour. Georges Bataille ; Premiers écrits 1922-1940 Toutes les belles femmes se prennent à ce trébuchet. Amants, voulez-vous être heureux, faites-en naître l'occasion. Sylvain Maréchal ; Le dictionnaire d'amour 1788 Rien n'est plus triste que la vie des femmes qui n'ont su être que belles, car rien n'est plus court que le règne de la beauté, et il n'y a qu'un fort petit nombre d'années de différence entre une très belle femme, et une femme qui ne l'est plus. Bernard Fontenelle ; Les pensées et réflexions 1757 Une belle femme est en France l'idole de ceux qui la connaissent, la reine de son mari, et le tyran de ses amants. Citation anglaise ; Les proverbes et adages anglais 1840 Les belles femmes perdent à la mode ce qu'y gagnent les jolies femmes. Nicolas Massias ; Le rapport de la nature à l'homme 1823 Les belles femmes se reconnaissent au dédain, car, neuf fois sur dix, c'est la sotte qui dédaigne. Henry de Montherlant ; Sur les femmes 1958 Jeunes amants, imitez le Zéphyr Il caresse l'œillet, l'anémone et la rose ; jamais son vol ne se repose ; nouvel objet, nouveau désir. De beautés en beautés, sans vous fixer pour une, comme lui voltigez toujours ; voltigez, et passez de la blonde à la brune Les belles sont les fleurs du jardin des amours. Charles-Simon Favart ; Les trois sultanes 1761 Les remords d'une belle femme ce sont des regrets. Alphonse Karr ; Nouvelles guêpes 1853 Le désir n'a rien à voir avec la beauté, et toute femme belle, ce n'est pas tant parce qu'on la désire qu'on va l'aimer, c'est parce qu'elle est belle et que nous sommes sensibles à la beauté, ce qui est différent. Georges Perros ; Papiers collés 1960 Une belle femme est une joie infinie. Johann Wolfgang von Goethe ; Les complices Die mitschuldigen, I , 2 1769 Les femmes qui doivent le plus dire aux hommes qu'ils sont beaux, ce sont les plus belles. Jean Giraudoux ; La folle de Chaillot 1945 La beauté de la femme intéresse moins les hommes que sa possession, mais elle les fait rêver. Henry de Montherlant ; Textes sous une occupation 1940-1944 La plus belle femme du monde ne remplacera jamais un bon banquet. Pascal Bruckner ; Les ogres anonymes 1998 Ne jamais oublier que les agences de mannequins ont toutes été créées par des mecs laids qui voulaient coucher avec des femmes très belles, et qui y sont parvenus au-delà de toute décence. Frédéric Beigbeder ; Au secours pardon 2007 Toute femme qui veut bien de moi est la plus belle du monde. Frédéric Beigbeder ; Un roman français 2009 Une belle femme sans esprit, quand elle a accordé ses faveurs à son amant, ne peut plus rien pour lui ; tandis qu'une femme laide, mais spirituelle, peut inspirer à un homme une passion telle qu'il ne lui restera plus rien à souhaiter. Giacomo Casanova ; L'histoire de ma vie 1789-1798 Une belle femme sans argent ressemble à un beau cottage vide. Thomas Fuller ; Gnomologia, adagies and proverbs 1732Autres dictionnaires à consulter
À la femme de ma vie Au moment où je t’écris cette lettre d’amour, mes pensées vont vers toi et nos belles années de vie commune. Avec notre train-train quotidien, je ne me souviens plus de la fois où l’on s’est dit je t’aime pour la dernière fois. Je sais parfaitement que notre amour ne s’est pas éteint. Il est toujours bel et bien enflammé. Toutefois, je ressens l’envie de te le rappeler sur est-ce que je t’aime ? Pour moi, cette question n’a même pas le droit d’être posée. Je ne connais pas la raison. Je t’aime tout simplement. Je t’aime éperdument. Même si je ne te le dis pas souvent, saches que tu es la plus belle femme à mes yeux. Ta beauté et ton élégance n’ont pas de pareil. Au moment où j’ai posé mes yeux sur toi pour la toute première fois, je me suis dit que je ne regarderai plus jamais une autre femme de la même manière. Tu illumines mes journées. Sans toi, je n’aurai jamais cru en moi. Tu es l’une des rares personnes à toujours voir le meilleur en moi. Tu es la seule à savoir me sortir les bons mots pour me remotiver lorsque je me sens lasse. Tu es également la seule à savoir t’occuper de moi comme un chérie, je t’aimerai jusqu’à l’infini. Mon vœu le plus cher est de rester à tes côtés jusqu’à la fin de ma vie. Je t’embrasse très fort, ton imparfait de mari. À la plus belle femme du monde Je t’écris cette lettre pour te rappeler que je t’aime. Je suis éperdument amoureux de toi. Mon cœur ne bat que pour toi. Tu es l’amour de ma vie. Sans toi, je ne sais pas ce qu’aurait été mon existence. Je te dois tout ma me souviens de notre première rencontre comme si c’était hier. Lorsque tu m’as adressé la parole, j’étais sur un petit nuage. Depuis ce jour, tu fais partie de tous ceux à quoi je ne n’arrête pas de penser. Saches ma chère et tendre que cela ne va jamais changer. Tu m’apportes chaque jour du bonheur. Depuis cette journée ensoleillée, un jour d’été, nous nous sommes dit oui. Jusqu’à aujourd’hui, ma pensée n’a jamais changé tu restes à mes yeux la plus belle femme de toute la planète. Ma chérie, ma vie n’a pas de sens sans toi. Mes réveils ne seront plus pareils si tu n’es pas à mes côtés. Rien que de te voir sourire me rend fou d’amour et fait fondre mon petit cœur amoureux. Je voudrai sincèrement que notre histoire dure longtemps. Je t’aimerai pour l’ que je te promets ? Aussi longtemps que je vivrai, je serais toujours là pour te soutenir. Tu peux être tranquille, mon amour pour toi ne s’éteindra jamais. Je t’aimerai toujours comme au premier jour. Je pense très fort à toi. Je ne cesserai jamais de le répéter, je t’aimai, je t’aime et je t’ la part de ton chéri. Bisous. Copyright *Utilisation personnel avec mention de la source et lien obligatoire.
le temps passé dans le bonheur. Et j'ai passé des heures à aimer ton sourire, Tu emplissais mon cœur, je te laissais dormir, C'était là mon bonheur, un si doux souvenir, L'amour portait l'espoir, moi j'attendais ton rire, Et tant et tant de soir qui pouvaient m'éblouir, Je n'aurais pas pu croire que tu puisse mourir. De toutes les femmes, tu es la plus belle. La plus jolie, de toutes ses demoiselles. Tu es toujours plus belle que l’autre. Toujours plus sensuelle que l’autre. Seule ta beauté intérieure, n'a pas son égale. Ce qui se dégage de toi est subliminal. Tu es mon dernier grand amour. Mon cœur est tien pour toujours. Je n’ai jamais été en amour comme ça. Jamais je n’ai aimé à ce point là. Par Claude d’Ampleman
Le chevalier de l’éternelle jeunesse Suivit, vers la cinquantaine, La raison qui battait dans son coeur. Il partit un beau matin de juillet Pour conquérir le beau, le vrai et le juste. Devant lui c’était le monde Avec ses géants absurdes et abjects Et sous lui c’était la Rossinante Triste et héroïque. Je sais, Une fois qu’on tombe dans cette passion Et qu’on a un coeur d’un poids respectable Il n’y a rien à faire, mon Don Quichotte, rien à faire, Il faut se battre avec les moulins à vent. Tu as raison, Dulcinée est la plus belle femme du monde, Bien sûr qu’il fallait crier cela à la figure des petits marchands de rien du tout, Bien sûr qu’ils devaient se jeter sur toi Et te rouer de coups, Mais tu es l’invincible chevalier de la soif Tu continueras à vivre comme une flamme Dans ta lourde coquille de fer Et Dulcinée sera chaque jour plus belle. Nazim Hikmet
tu es la plus belle femme du monde poème